Épisode 6Quel·le juge voulons-nous? Avec Oumayma Mehdi | Peut-on parler de “mouvement judiciaire” en Tunisie ? Si oui, quels sont les éléments de ce mouvement ? Est-il nouveau et contemporain, ou bien est-il enraciné dans les changements politiques de l'histoire de la Tunisie ? Quel est le rôle de l'impartialité dans l'exercice de la profession de juge ? Peut-on dire qu’il existe un seul type de juge, ou bien en existe-il plusieurs ? Finalement, qu’est-ce qu’un·e juge ? | | |
Épisode 5Les jeunes en marge et leur santé mentale, avec Olfa Lamloum | Violence, addiction et migration : comment comprendre les causes des comportements à risques des jeunes Tunisien·nes en marge de la société du point de vue de leur santé mentale ? Entretien avec Olfa Lamloum, coordinatrice de l’étude : “La santé mentale et les comportements à risque à Kabaria, Nord Kasserine et Nord Tataouine” | | |
Épisode 4La crise des eaux en Tunisie, avec Houssin Rhili | Le système législatif et légal de l'eau participe-t-il à la mise en place de politiques publiques inéquitables et non durables en matière de gestion du domaine public hydraulique ? Quelles sont les alternatives possibles face à la pression exercée pour l'adoption d'un nouveau Code des eaux par décret présidentiel ? Entretien avec Houssin Rhili. | | |
Épisode 3Les marchands ambulants et la genèse des masculinités, avec Ridha Karem | Un entretien avec le chercheur Ridha Karem à propos du chapitre “Approche de la genèse des masculinités du marchand ambulant” en rapport avec l’étude publiée sous l’égide du FTDES Le marché de la rue d'Espagne ou le sens d'une économie de la rue en Tunisie. | | |
Épisode 2Le sens d'une économie de la rue, avec Sofien Jaballah | Depuis quelques années, l’économie informelle s’impose de plus en plus en Tunisie. Certaines instances internationales estiment qu’elle représente 53% du PIB du pays. Un entretien avec Sofien Jaballah à propos de l’étude qu’il a coordonnée sous l’égide du FTDES : Le marché de la rue d'Espagne ou le sens d'une économie de la rue en Tunisie. | | |
Épisode 1Justice fiscale, avec Amine Bouzaiene | La justice fiscale comme moyen pour réduire les disparités sociales, garantir les droits économiques et sociaux, remédier au déficit des finances publiques et répondre aux exigences du Fonds monétaire international. Un entretien avec Amine Bouziane à propos de son papier de recherche “La justice fiscale, une question de survie à la portée de la Tunisie.” | |
inkyfada podcast est la première plateforme entièrement dédiée aux podcasts natifs en Tunisie. Elle a été réalisée par le média inkyfada, avec le support d’inkyLab, son laboratoire de recherche et développement. Avec l’explosion des podcasts - créations sonores à la demande - à travers le monde, inkyfada s’est lancée dans l’aventure depuis 2017, lorsque l’équipe a réalisé le premier documentaire sonore en Tunisie, en plongeant au coeur de la lutte d’El Kamour, en plein désert. Depuis, inkyfada podcast réalise de nombreux documentaires, enquêtes, séries de podcasts, articles audios mis en musique et d’autres récits sur des sujets qui soulèvent des problématiques contemporaines, pour une plus grande immersion et une expérience différente. Tout en proposant des contenus originaux qui diffèrent de par le médium - exclusivement audios - l’équipe d’inkyfada podcast véhicule les valeurs et principes généraux d’inkyfada.com. Elle défend une production engagée, rigoureuse, esthétique et de qualité. En plus de l’équipe permanente, inkyfada podcast collabore étroitement avec des journalistes, artistes, illustrateur·trices, musicien·nes et autres créateur·trices de contenus, afin de diversifier son offre mais aussi de soutenir la création artistique. Ces podcasts se différencient des contenus radiophoniques traditionnels par le travail de réalisation et de montage, qui se rapproche plus des techniques cinématographiques, en plus d’être destinés au web, téléchargeables et accessibles à la demande. Les créations d’inkyfada podcast ont aussi l’originalité de proposer le sous-titrage en français, arabe et anglais de ses contenus audios, qui sont majoritairement en tunisien ou dans la langue privilégiée par les intervenant·es.